Page d’accueilli   » LE CONFLIT À L’UE    » Le conflit du Haut-Karabagh dans l’Union Européenne   

Le conflit du Haut-Karabagh dans l’Union Européenne

  



L’histoire de la coopération entre l’Union Européenne et l’Azerbaïdjan date de l’année de 1993. Au mois de février de la même année, les relations entre cette organisation et l’Azerbaïdjan ont été fondées. Le 7 Avril 1993, L’Union Européenne a publié un avis à propos du conflit de l’Arménie – l’Azerbaïdjan et le Haut-Karabagh. Dans cet avis, les pays qui sont membres de l’institution ont déclaré qu’ils étaient exigeants que le conflit soit plus profond, et qu’ils étaient désolés que les opérations dans les préfectures de Kelbecer et Fuzuli s’éteignent. Cependant, on n’a pas assumé une attitude à propos de l’invasion des terrains Azerbaidjanais par l’Arménie dans cet avis et on n’a pas indiqué les vraies raisons du conflit. L’Union Européenne a assumé une attitude plutôt objective et essayé de ne pas déclarer l’agresseur.
Au mois de l’Octobre de la même année quand les forces de l’invasion de l’Arménie organisaient de nouvelles opérations, l’Union Européenne a dû publier un nouvel avis. Dans ce document, on a reproché les attaques des Arméniens contre l’Azerbaïdjan et on a aussi déclaré l’inquiétude que le nombre des réfugiés augmente. L’Union Européenne a supporté les efforts du Groupe de Minsk AGİK pour la pacification dans la région et elle a fait une demande aux parties de créer un environnement convenable pour la réalisation de ce processus. Cette institution voudrait que les deux parties respectent les décisions des Nations Unies et que les armées soient sorties des préfectures de Kelbecer, Ağdam, Füzuli et Cebrayıl. Par ailleurs, on demandait dans cet avis aux forces locales Arméniennes qui envahissaient les terrains Azerbaidjanais de ne pas être supportées par l’Arménie. Mais ce document était fautif dans plusieurs aspects. Parce que l’action de l’invasion des terrains Azerbaidjanais n’était pas faite par les Arméniens locaux mais par l’armée Arménienne.
On a souligné dans le document ce sujet suivant : « L’Union et les pays membres supportent complètement pour renforcer la temporaire cesse du feu (la décision sur ce sujet a été acceptée le 31 Aoute 1993 entre les organes administratives du Haut-Karabagh et l’Azerbaïdjan) avec les efforts que fait le Groupe de Minsk dans AGİK. Ils invitent tous les deux parties à commencer le dialogue mutuel dans n’importe quelle manière. Vers la fin du mois du Juin, un tel dialogue renforcera la possibilité de l’application du programme avec lequel toutes les parties sont d’accord. L’Union et les pays membres ont demandé en addition que les forces locales Arméniennes au Haut-Karabagh respectent les décisions numérotées 822 et 853 des Nations Unies. Ils demandent que les armées soient sorties des préfectures de Kelbecer, Ağdam, Füzuli et Cebrayıl. L’Union et les pays membres n’ont pas d’évidences que l’Azerbaïdjan possèdent la capacité de préparation de l’attaque des régions dites ».
Comme on peut voir, il n’y a aucune information concrète sur le contexte du conflit dans ce document. Par ailleurs, l’Union Européenne n’a pas indiqué qui est le pays agresseur. Le 9 Novembre 1993, l’Union Européenne a accepté un nouvel avis sur le conflit de l’Arménie – l’Azerbaïdjan et le Haut-Karabagh et ce document n’était pas différent que les derniers. L’organisation parlait de son inquiétude envers l’augmentation des conflits et soulignait que la tension dans la région augmente avec l’augmentation du nombre des réfugiés.
L’Union Européenne ne s’est pas tout à fait intéressé au conflit et n’a pas assumé une attitude particulière sur ce processus. Parce que le sujet de la solution des conflits n’est pas inclut dans la stratégie d’action de l’Union Européenne. Il faut aussi faire attention que l’organisation s’est intéressée peu aux développements en Caucase du Sud au début. Comme l’Union Européenne est considérée seulement comme une organisation économique, elle a préféré de s’agir prudent dans les sujets politiques et ceux sur les conflits. Par ailleurs, un des développements importants qui reflétaient l’attitude de l’Union Européenne à propos du conflit de l’Arménie – l’Azerbaïdjan et le Haut-Karabagh a eu lieu en 2003. L’organisation a proposé que cinq des préfectures Azerbaidjanaises qui ont été envahies soient rendues en échange de l’ouverture des lignes de transportation pour la solution du conflit. Cette proposition a été disputée longtemps et elle garde son actualité même aujourd’hui. L’intention de l’Union Européenne de jouer un rôle actif dans améliorer les relations dans la région et aussi dans la solution du conflit de l’Arménie – l’Azerbaïdjan et le Haut-Karabagh est devenue assez sérieuse. Ce développement montre que le processus de paix a été placé dans un domaine plus extensif et que le problème dérange la communauté internationale aussi.
Tout cela montre aussi que bien que de divers documents, décisions ou avis sur le principe de contre-attaque de l’Arménie à l’Azerbaïdjan sont acceptés par les organisations internationales dans de diverses périodes, le gouvernement de l’Arménie ne s’est pas encore retiré. Cela peut être considéré comme le résultat que l’union internationale n’a pas puni le pays agresseur comme il faut. Il y a seulement un moyen pour résoudre le conflit de l’Arménie – l’Azerbaïdjan et le Haut-Karabagh : s’assurer que ce pays obéisse aux principes globaux du droit international.



Lu: 4410